Présentation des Voeux à l'Archévêque de Brazzaville, ce jeudi 31 décembre 2010
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Actualité de la Paroisse, de l'Eglise Catholique dans le monde et au Congo-Brazzaville
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Benoît XVI publie le message pour la journée mondiale de la Paix qui sera célébrée le 1er janvier 2010 : "SI TU VEUX CONSTRUIRE LA PAIX, PROTÈGE LA CRÉATION ".
Le Pape souligne la responsabilité des pays industrialisés en ce qui concerne le climat et l’environnement.
Au début de cette nouvelle année, je désire adresser mes vœux de paix les plus fervents à toutes les communautés chrétiennes, aux responsables des Nations, aux hommes et aux femmes de bonne volonté du monde entier. J’ai choisi comme thème pour cette XLIIIème Journée Mondiale de la Paix : Si tu veux construire la paix, protège la création. Le respect de la création revêt une grande importance, car « la création est le début et le fondement de toutes les œuvres de Dieu » [i] et, aujourd’hui, sa sauvegarde devient essentielle pour la coexistence pacifique de l’humanité.
Pour lire le texte dans son intégralité, cliquer dessus :
Bonne année !
Deux mots simples pour une aventure inconnue.
A la fin de chaque messe, le diacre proclame :
« Allez dans la paix du Christ. »…
et chacun est invité à construire la paix dans sa vie quotidienne.
Sans programme précis.
Avec seulement au cœur la présence du Christ
pour porter Son regard, Son amour, Son intelligence sur le monde.
L’année nouvelle commence par une journée dédiée à Marie
et à la paix.
Le Pape a publié un très beau message à cette occasion :
« Si tu veux construire la paix, protège la création… »
Il rappelle que la paix naît d’une manière d’accueillir le monde,
et de savoir que tout nous est donné :
Tout a été créé par le Verbe, incarné dans le fils de Marie
pour parler de l’amour de Dieu et nous inviter à le diffuser.
Mécontents de leurs salaires et de leurs conditions de travail, les employés congolais de patrons « chinois », « ouest-africains » ou « libanais » subissent en silence leur exploitation. Ils n’ont en général pas de contrat en bonne et due forme, ne connaissent pas leurs droits et craignent surtout d’être licenciés dans un pays où trouver un emploi relève du miracle. Par Annette Kouamba Matodo.
Image illustrative de l'esclavage et de la surexploitation
Jusqu'à 80 heures de travail par semaine pour un salaire de misère... Tel est le traitement de nombreux jeunes Congolais employés de patrons « chinois », « ouest-africains (mauritaniens, sénégalais, maliens) », « libanais » ou « pakistanais ». Ces employeurs étrangers font des affaires au Congo depuis la fin de la guerre de 1997 dans les secteurs du commerce, du bâtiment ou de la restauration. Le plus souvent, leurs employés travaillent tous les jours, du matin au soir, sans pause à midi. Ils n’ont pas de prime de transport, pas de congés et sont pour certains rémunérés moitié moins que le « SMIG », soit 25 000 Fcfa (38 €) le mois au lieu de 50 000 Fcfa (environ 75 €).
« Je suis payé 1 000 Fcfa (1,5 €) la journée et je n’ai pas de contrat de travail. Je ne suis donc pas à l’abri du renvoi », témoigne un employé d’un magasin « ouest-africain ». « Le volume de travail est trop élevé par rapport au salaire que je reçois. Mais, si je réclame mes droits, je risque de me retrouver à la rue », assure une mère célibataire, salariée d’un établissement libanais depuis une dizaine d’années. Elle, qui cumule plusieurs tâches dans cette entreprise, ajoute : « Si nos salaires sont minables, c’est à cause de l’Etat. Il n’embauche pas et ces commerçants en sont conscients. Officiellement, nous travaillons de 7 à 17 h, mais en réalité, nous finissons aux environs de 19 h. À Kinshasa, tous les commerces ferment à 15 h ! »
LE DOUBLE DE LA DURÉE LÉGALE
Au marché Poto-Poto de Brazzaville, dans un magasin chinois de commerce général, deux travailleurs assis dans un coin attendent la clientèle pendant que leurs patrons déjeunent. Eux n’ont ni pause, ni repas. Ils mangeront une fois à la maison. Pour l’heure, il leur faut vendre, ranger, nettoyer les articles et discuter avec les clients de 6 h 30 à 18 h, du lundi au samedi, et le dimanche de 6 h 30 à 15 h. Près de 80 heures de travail par semaine, soit le double de la durée légale (40 heures) fixée par le Code du travail congolais, et cela pour 45 000 Fcfa (70 €) par mois…
Dans un autre magasin chinois, un employé déplore également, barrière de la langue oblige, « le manque de communication » avec son employeur et le manque de reconnaissance de son travail : « Quand je suis arrivé, je gagnais 30 000 Fcfa (45 €). Deux ans plus tard, je suis à 52 000 Fcfa (près de 80 €). C’est encore très insuffisant pour vivre. » À côté de lui, un collègue en colère déclare : « Avec cette somme, tu ne peux pas louer une maison, encore moins avoir une femme. »
Le responsable d’un magasin « chinois » justifie la faible rémunération (1 000 à 2 000 Fcfa soit 1,5 à 3 € par jour au démarrage) de ses vendeurs en accusant les Congolais de voler la marchandise. Il ne cherche pas et n’a sans doute pas besoin de fidéliser ces employés qui, pour certains, démissionnent au bout d’une semaine, espérant trouver mieux ailleurs, comme le fait remarquer un des vendeurs congolais de la boutique. Même dans cet autre commerce chinois reconnu par les autorités congolaises et où le salaire minimum est fixé à 65 000 Fcfa (100 €) selon la chargée de l’administration, certains employés sont décidés à partir s’ils trouvent mieux. Pas évident, car la fonction publique recrute peu et les commerçants congolais embauchent en priorité des membres de leurs familles avec des salaires négociés à l’amiable…
INFORMER EMPLOYEURS ET EMPLOYÉS
Les patrons étrangers sont donc très sollicités par les demandeurs d’emploi et feraient jouer à fond la concurrence entre salariés. Selon l’« Observatoire congolais des droits de l’Homme (OCDH) », « les autorités ont une grande responsabilité, car elles privilégient leurs relations avec les commerçants étrangers au lieu de sanctionner ceux qui ne respectent pas les normes du travail au Congo. »
Du côté de l’« Office national de l’emploi et de la main-d'œuvre (ONEMO) », les règles du jeu sont en tout cas claires : « Aucune entreprise ne peut engager du personnel sans nous en avoir informés. Sinon, les relations qui la lient à son employé ne sont fondées sur aucune base légale. Toute entreprise qui va à l’encontre de cette loi encourt des pénalités allant de 30 000 à 95 000 Fcfa (45 à 145 €) par salarié non déclaré », souligne Jean-Ernest Mahoungou, secrétaire à la direction générale de l’« ONEMO ». Sur le terrain, la loi est cependant peu respectée… « Des boutiques ouvrent sans avoir d’information sur la loi régissant l’emploi au Congo. Nous expliquons à l’employeur qu’il doit faire signer un contrat à son employé et le soumettre à notre appréciation », assure M. Mahoungou.
Les employés qui s'estiment exploités peuvent s'adresser aux inspecteurs et contrôleurs du travail et aux syndicats. Mais peu d’entre eux connaissent leurs droits.
Bonne année 2010 quand même !
C’est étrange qu'on parte de l'idée que l'année 2010 qui commence sera forcément bonne alors qu’elle est annoncée comme étant l’année de tous les dangers et donc l’année de tous les espoirs ! Nous savons qu'elle ne le sera pas Elle ne le sera pas pour les requérants d'asile et les sans-papiers Elle ne le sera pas pour les populations exploitées par notre système de mondialisation Elle ne le sera pas pour les populations victimes de la crise financière et économique Elle ne le sera pas pour les prisonniers, les condamnés à mort et les victimes de la torture Elle ne le sera pas pour les victimes des dictateurs, de la guerre et des catastrophes naturelles Elle ne le sera pas pour les victimes de séparations et ceux qui connaîtront des deuils Elle ne le sera pas pour ceux qui seront victimes de cruelles maladies Elle ne le sera pas pour ceux qui souffriront des changements climatiques et écologiques Elle ne le sera pas pour la majorité des peuples du monde et pour les africains en particulier Elle le sera assurément Pour les amoureux qui pourront vivre leur amour Pour les amoureux de la beauté, de la poésie, pour celles et ceux qui trouveront la paix Pour celles et ceux qui pourront voir naître ou élever des enfants en bonne santé Pour celles et ceux qui ont le sens de l'humour, le don de soi et de l'amitié Pour tous les passionnés quelles que soient leurs hobbies Elle le sera sans doute pour un certain nombre de financiers et d'entrepreneurs Elle le sera sans doute pour un certain nombre de politiciens, de sportifs et de chercheurs Elle le sera sans doute pour un certain nombre d'écrivains, d'étudiants et d’artistes Elle le sera assurément pour tous ceux et toutes celles qui oseront aller au bout de leurs rêves. Pour que l’année 2010 soit vraiment bonne osons oser ! L’indignation ou la dénonciation sans actions est une pure perte de temps et d'energie ! Je souhaite à toutes et à tous d’oser, d’oser encore, d’oser toujours ! Les échecs et certaines trahisons vous grandissent et vous anoblissent ! Les petites lâchetés quotidiennes démolissent votre dignité et votre amour propre ! Le pire n’est jamais certain ; le meilleur non plus mais tout dépend de chacun ! En 2010 essayons de dominer nos craintes nos peurs et nos angoisses Cessons d’Avoir Peur ! OSONS OSER ! Trouvez l'énergie et le courage pour réagir contre ce qui est inacceptable ! L’indignation doit obligatoirement être suivit de l’action car d’autres réalités sont possibles ! Bonne Année 2010 quand même ! Nous Sommes le Congo ! Cessons d'Avoir Peur ! Pour un Etat de Droit au Congo !
"Chaque génération a le choix entre trahir ou accomplir sa mission" Celui qui lutte peut gagner ! Celui qui ne lutte pas a déjà tout perdu !
Patrick Eric Mampouya http://mampouya.over-blog.com/
Angélus
En ce Noël où la liturgie appelle à la joie, le pape Benoît XVI a rappelé que la joie n’est pas destinée aux chrétiens seulement mais en particulier aux « plus pauvres de joie » : aux victimes de la guerre, aux malades, aux personnes seules, aux jeunes qui ont perdu le sens de la vraie joie.
« La joie… est une annonce prophétique destinée à l’humanité tout entière, en particulier aux plus pauvres, dans ce cas aux plus pauvres de joie », a affirmé le pape avant la prière de l’Angélus en présence de plusieurs milliers de fidèles rassemblés place Saint-Pierre.
« Pensons à nos frères et sœurs qui, spécialement au Moyen-Orient, dans certaines régions d’Afrique et dans d’autres parties du monde vivent le drame de la guerre : quelle joie peuvent-ils vivre ? Comment sera leur Noël ? », s’est interrogé le pape.
« Pensons aux nombreux malades et personnes seules qui, en plus d’être éprouvés dans leur corps, le sont également dans leur âme, car il n’est pas rare qu’ils se sentent abandonnés : comment partager la joie avec eux, sans manquer de respect pour leur souffrance ? » a-t-il poursuivi.
Le pape a également eu une pensée pour ceux « spécialement les jeunes – qui ont perdu le sens de la vraie joie, et la cherchent en vain là où il est impossible de la trouver : dans la course désespérée vers l’affirmation de soi et le succès, dans les faux divertissements, dans la société de consommation, dans les moments d’ébriété, dans les paradis artificiels de la drogue et de toute forme d’aliénation ».
« C’est précisément à ceux qui sont dans l’épreuve, aux ‘blessés de la vie et orphelins de la joie’ que s’adresse de manière privilégiée la Parole du Seigneur », a affirmé Benoît XVI
« L’invitation à la joie n’est ni un message aliénant, ni un palliatif stérile mais au contraire, une prophétie de salut, un appel à un rachat qui part du renouvellement intérieur », a-t-il expliqué.
« Avec l’aide de Marie, offrons-nous nous-mêmes, avec humilité et courage, afin que le monde accueille le Christ, qui est la source de la vraie joie », a conclu Benoît XVI.
Bien aimé,
A l'heure où nous allons célébrer, en mémoire et en acte la naissance de Jésus, Vrai homme et Vrai Dieu, comme nous l'enseigne le Credo de Nicée Constantinople, je me fais la joie de vous souhaiter joyeuse fête de la nativité et meilleures voeux pour l'année 2010.
Puisse le Seigneur qui, dans l'histoire de chacun, sait accomplir la promesse de l'espérance bienheureuse du Royaume, vous accompagne sereinement durant les moments de joies et des souffrances qui ne nous seront certainement pas épargnés.
Par ailleurs, n'oublions pas que, dans le monde, tant d'hommes et de femmes et surtout les jeunes ont perdu le goût de vivre: ils sont mal logés, chomeurs, malades, divorcés, angoissés voire prisonniers. Allons-nous nous réjouir sans penser à tous ces hommes et femmes qui, pourtant, disent comme nous la prière de "Notre Père" ? En disant notre Père à Dieu qui est notre Père à tous, ils prennent conscience d'être des fils ou filles de Dieu au même tritre que nous le sommes. Nous sommes donc leurs frères et soeurs. Alors, quel frère ou soeur peut se réjouir et s'ennivrer au point d'oublier qu'il y a un des siens qui est dans le désespoir ?
C'est justement à ce moment qu'il faut donner un nouveau sens à la joie de Noël. Cette joie ne nous fait pas oublier les impasses, les souffrances et les moments de ténèbres que nous traversons les uns avec les autres. Au contraire, elle nous éclaire et nous situe dans la dynamique de l'espérance selon laquelle Rien ne peut nous séparer de l'amour de Dieu. Saint Paul nous rassure en disant: " Oui, j'en ai la certitude, ni mort ni vie, ni anges ni principautés, ni hauteur ni profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté dans le Christ Jésus notre Seigneur." (Rm.8,38-39). la Joie de Noël est donc espérance et force de vivre en lien les uns avec les autres.
Pour cela, je vous souhaite davantage Bonne fête de Noël.
Père Gildas Boniface TEMBE
Allias Bony Le Noir.
HOMMAGE À MONSEIGNEUR AUGUSTE ROCK NKOUNKOU, PREMIER PRÉLAT CONGOLAIS. (le 11/05/2009 à 22h58) | |
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Strange dog in human form Des étranges chiens avec un corps humain ont été trouvés au Nigeria. Ce chien à la forme humaine prend soin de ses petits comme un humain.
Un chasseur autochtone, M. Ahutoyi qui avait continué une partie de chasse nocturne a rencontré par hasard ces créatures étranges dans une forêt vierge. Il a rapidement alerté les habitants. Ahutoyi a été stupéfié et il a affirmé que la découverte étrange était sa plus étrange image vue dans ses 25 ans de pratique de chasse. Il témoigné avoir crier à la vue de ces créatures.. Mais son courage de chasseur l'a permis de s’approcher davantage de ces créatures. Il a tout de suite alerté les habitants.
Un groupe de jeunes les a enlevés et les ont placés dans une église locale où les habitants de la ville viennent par millier voir ces créatures bizarres. La nouvelle s’est répandue à Lagos et au Bénin et ces créatures attirent des visiteurs en grand nombre à l'église où ils (les chiens) sont gardés. |