Edith Nguesso ou Edith Bongo: La polémique.
CONGO/GABON : EDITH BONGO MET DES COUCHES-CULOTTES POUR DORMIR OU LE DESTIN TRAGIQUE D'UNE FEMME DE POUVOIR... Elle est belle, jeune,
probablement l'une des femmes les plus riches du monde, elle, fille de président qui a voulu devenir femme de président.
Son diplôme de docteur en médecine en poche, Edith Sassou n'a jamais exercé la médecine car elle va devenir madame Bongo Ondimba. Elle largue son petit ami à coups de millions de francs cfa... Aujourd'hui, Edith Bongo vit à Paris, malade, on parle de la maladie de Parkingson, d'un empoisonnement, du fait qu'elle ait touché les fétiches de Bongo ou d'un envoûtement mais une chose est sûre, la richissime Edith, aux dires de ses proches que j'ai rencontrés, porte des couches-culottes pour dormir et se shoote à la seringue. Son goût pour la drogue était connu mais nous passons de la rumeur à un état de fait. Peut-être prend-elle des injections hypodermiques à la morphine. Qui sait ? Elle ne se cache plus pour se shooter.
Cette femme ; on lui prête une très grande attention - surtout maintenant qu'elle est malade. Elle explique par sa présence au royaume shérifien pourquoi Sassou et Bongo se rendent constamment au Maroc. Elle joue aussi le rôle d'extincteur pour apaiser les tensions au sein des clans constitués autour du pouvoir de son père.
Comment en est-on arrivé à ce scénario catastrophe ? Comment le conte de fée a-t-il pu brusquement tourner au conte d'enfer ? Tout est parti d'une histoire de nectar : Okombi Salissa, ministre de Sassou, on dit que c'est le seul que l'enfant terrible d'Oyo ne contrôle pas, aurait réniflé le nectar présidentiel réservé à Bongo Ondimba. Les chefs d'Etat ayant la jalousie tenace, Okombi Salissa ne doit, paraît-il d'être encore en vie seulement parce qu'Edith aurait menacé son père. " Sassou a pensé que sa fille était devenue folle. Il a fallu l'intercession de madame Antoinette Sassou auprès de sa belle-fille pour que le statu quo demeure.
Protégée nuit et jour par trois gardes du corps, Edith Lucie Bongo, fille de président, épouse de président, a payé cher un coup tiré dans la griserie du cannabis. Un coup tiré, on marque un but de plaisir mais parfois ce but compte double avec en prime une déliquescence physique ! Bongo l'aurait-il empoisonnée ? S'agit-il d'un envoûtement ? Est-elle simplement malade ?
Son père, Sassou, a dit qu'il n'avait pas voulu de ce mariage car aujourd'hui, sa fille bien-aimée est très mal en point. Le torchon brûle entre Sassou et Bongo. Quand on mange du Omar, on récolte certes des mbongos (argent) mais attention ! On peut digérer très mal. En effet, les nains sont très redoutables en coups fourrés. Surtout quand ils portent des talons. Un coup de talon, ça peut faire très mal... Ce n'est donc plus demain qu'on verra Edith en public avec son mari dans l'état où elle se trouve. Le conte de fée tourne court. Dieu seul sait... Bongo et Sassou se croisent dans les rendez-vous officiels. Désormais, les sourires sont de façade.
Quand on ne peut plus retenir ses urines entre autres, on porte des couches-culottes pour dormir. Edith aura compris la leçon mais elle a eu tort de commettre une erreur trop publique.
Vous avez un doute, hein ? Avez-vous vu la vidéo de la fête de l'indépendance le 15 août 2007 à Owando sur le site officieux de Sassou ? Il est tout seul, le pauvre petit ! Yaya Bongo est seul ! Il marche les bras pendouillants sur le tapis rouge et dédaigne de regarder la caméra. Jamais Edith n'a manqué une seule fête organisée par papa. Bongo ne peut pas forcer sa droguée de femme à s'afficher dans l'état où elle est ! Il est forcé de venir tout seul, le pauvre ! Vous auriez fait quoi à sa place, hein ? Beau papa t'invite, ça fait vilain et mal poli de ne pas répondre à l'invitation. Donc, l'air de dire : " J'ai pas envie, maman mais je bois quand même ma tasse", Bongo s'amène. Seul !
Affaire à suivre au palais téké d'Ondimba... Nous n'avons pas fini d'apercevoir le côté obscur de la chose.
sources: http ://demainlecongobrazzaville.over-blog.com
"Construire un avenir qui regarde le peuple congolais en face".